16 février 2008

wet dream


Tanxxx
illustratrice

15 février 2008

Ce matin, j'étais en compagnie de mon ex-coloc. Mais aussi de ma petite chatte, Jabule. Nous revenions de je ne sais quel pays étranger, et voyagions à bord d'une nef si immense qu'une partie en était occupée par une morceau de campagne. Nous étions logé dans une vaste chambre, avec lits superposés trônant au milieu de la pièce. Jabule jouait sur l'épais édredon blanc puis sautait sur le plancher et, passant la porte en métal, allait faire quelques pas timides sur la terre battue de l'extérieur. Je découvrais d'ailleurs avec plaisir que mon vieil ami chti, Philippe, avait planté sa tente auprès du poulailler du navire. Regagnant notre cabine, je m'inquiétais tout de même: nous avions été séparés de notre majordome à la douane (un grand tapis roulant sur lequel il fallait grimper), et nous ne l'avions plus revu, lui d'habitude si ponctuel. Qu'allions-nous bien pouvoir faire si notre fidèle butler avait raté le départ?


André-François Ruaud
éditeur

14 février 2008

Je me tiens, avec Axel et d'autres personnes, sur un chemin de campagne, devant une haute clôture grillagée. Dans le pré de l'autre côté, des nonnes combattantes s'entraînent, en pleine séance de kung-fu. Soudain, des chars soviétiques surgissent de la forêt, dispersant les guerrières en cornette et défonçant le grillage. Réalisant que ça y est, c'est l'invasion, nous nous mettons à courir dans les couloirs de l'hôpital, mais je perds mon groupe dans le hall d'une gare, distrait par un trio portant des crayons géants.

Le quartier médiéval d'une ville. Au sein des vieilles maisons à colombage, une université flambante neuve, toute en verre et métal brossé. J'y vais avec mon vieux copain Eric, pour suivre le cours de super-héroïsme. Malheureusement le prof est en retard et nous repartons, en volant ras au-dessus des toits d'ardoise.


André-François Ruaud
éditeur