03 mars 2009

L'homme tatoué

J'étais chez moi mais c'était chez ma mère, Je vais à une sorte de représentation dans une salle des fêtes, il y a un du monde et j'aperçois à l'autre bout de la salle une connaissance qui ne donne plus de nouvelles. Je ne vais pas lui parler et quitte la salle avant la fin du spectacle, je ne comprend pas ce qui captive tant les gens.
De retour chez ma mère j'hésite finalement à l'appeler mais ne le fais pas. Je sors, les rues sont sombres, il y a de l'animation. Une émission télé est enregistrée, des badauds sont agglutinés contre une vitre, je m'approche puis me recule un instant de peur d'être filmée, les gradins sont de l'autre côté et les caméras ne filment pas la rue de sorte à donner l'impression d'un studio. Je suis surprise de l'image propre qu'ils donnent alors que l'émission est enregistrée presque à ciel ouvert dans une rue. Le public est souriant, bien maquillé, professionnel. Le spectacle ne m'intéresse pas, je pars vite et m'engouffre dans le bar à côté où a lieu un concert ou un one man show. Sur scène, je crois reconnaître la connaissance du début du rêve, je vais lui parler. Il a deux tatouages grossiers sur le bras gauche, je lui avais dit ne pas aimer ça et je lui demande en rigolant si c'est pour ça qu'il m'évite. En haut de son bras une maison est tatouée en noir, toute simple, presque stylisée. Sur l'avant bras, les lettres de l'alphabet en couleur. Mais ce n'était pas lui, je m'en rend compte de plus prés, je m'excuse mais le chanteur a l'air amusé. On a l'impression de se connaître depuis longtemps. Une sorte de déclic. Il a les yeux clairs, le regard un peu froid et les cheveux courts châtains clair/ blonds en pics. Je sors du bar, m'échappant presque, il me suit en me demandant de rester, il essaye de me rattraper. Je m'enfuis dans la nuit.
Inconscients

Le rêve des factures

Je me rends à San Francisco. Je porte un pantalon noir et une chemisette blanche. Je commence ma visite par un mall. J’y fais des courses conséquentes : assis derrière un bureau, dans une salle avec vue sur le Golden Gate, je trie mes factures qui forment une pile assez haute. Une femme corpulente, depuis un bureau voisin, me fait part de sa désapprobation.

Al'
rêveur