05 février 2008

Quelques rêves récents

Mon père avait mangé de la confiture à la fraise ou à la framboise, elle contenait un poison mortel seulement c'était en très petite quantité et ne devait pas être mortel. Donc on ne s'inquiète pas trop et il s'amusait des effets ressentis (ça donnait l'impression d'être pour me rassurer). Mais il fini par avoir des problèmes pour respirer, ses poumons se paralysent, je cris.

On regarde par la fenêtre d'un appartement qu'on a failli prendre ou qu'on a habité, il est en duplex avec des escaliers de bois. On a oublié quelquechose dedans mais d'autres y habitent. Profitant qu'il soit vide, on essaye (par effraction) de récupérer nos affaires, sans succès.

Je perdais des dents, des molaires avec de gros amalgames en mercure.

Une propriété rassemblant des constructions plus ou moins sommaires (des murs blancs avec beaucoup de grillage et au sommet des chambres, sur une sorte de colline). On récupérait des chiens en ce lieu, d'où les grillages. Je vois au loin, au bout d'un chemin un homme typé mexicain discuter avec deux personnes du centre, il amenait un chien, un gros chien assez effrayant mais qui semblait pas trop dangereux et un autre chien arrive gros et féroce. Les gens du centre sont ok pour les prendre. J'ai peur, le chien dangereux est dans un enclos et je dis à une personne du centre qu'il va en sortir, je le vois grimper, on me dit que non puis quand il est vraiment sur le point de sauter l'enclos ils s'en rendent compte mais il est trop tard. J'attrappe ma fille, la prend contre moi et essaye de la mettre en sécurité. Je monte le plus haut possible. Le chien essaye de grimper un grillage derrière nous. Je m'enfonce dans les parties construites. Il y a des chambres et on me laisse me réfugier dans la chambre de trois enfants qui sont là pour des expériences. A côté il y a des combats organisés entre des chiens et des animaux sauvages du type léopard.
Je suis contente d'être en sécurité dans la chambre mais je n'y suis pas à ma place et je sens que ma situation est précaire.