Le rêve de l'arcane XVIII
De nouveau pré-adolescent. Ma mère m’accompagne à une exposition consacrée au Satyricon. On peut admirer les enluminures d’une édition médiévale, et même feuilleter des fac-similés. J’en abîme un avec un compas de navigateur ramassé plus tôt sur un présentoir. Le personnel du musée refuse que je verse un dédommagement, alors je leur abandonne mon compas. Le musée se situe en Amérique du Sud, au sommet d’une colline en forme de mamelon, dans une petite ville aux murs blancs. On sort au crépuscule. Je m’en vais courir dans la campagne, je fais fuir une paire de lévriers qui s’abreuvait à un lavoir. Mon père entre dans une colère noire ; je ne comprends pas très bien pourquoi ; est-ce à cause des chiens, ou de ruines antiques englouties par les eaux gorgées de soleil de la méditerranée ? Prétexte futile. Il veut me tuer, je fuis. Une de mes tantes accepte de m’héberger. Il lui arrivait de me garder, quand j’étais bébé. Elle pouvait ainsi voir son futur mari, je servais d’alibi. Depuis le début du rêve, j’ai pris quelques années. Ma tante, quant à elle, a considérablement rajeuni. Ce n’est plus ma tante, mais une ancienne amie de la fac’, blonde et généreuse, qui m’accueille dans son lit. Lequel a été déplacé dans le bureau de ma mère. On est nus. Je reste paralysé sur le bord, terrifié par la perspective de l’inceste.
Al'
rêveur
1 Comments:
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